Chercher la vérité est extrêment difficile. Nous pensons pour notre part qu'il n' y a que deux solutions:
Une attaque des rebelles à partir de Douma, telle que la Russie l'affirme haut et fort, y compris devant le conseil de sécurité auquel elle a fourni les clichés, sans qu'ils soient rendus publics; ce serait l'explication la plus logique, on ne voit pas pour quelle raison l'AAS utiliserait des armes chimiques avec une délégation d'enquêteurs logés à 15 km, et une Ghouta étranglée au point que l'opposition, la semaine dernière a qualifié celle-ci de mintaqa mankuba, l'endroit du désastre. http://www.islamicinvitationturkey.com/2013/08/23/syrian-rebels-damascus-chemical-cache-found-by-syrian-army/.
http://www.youtube.com/watch?v=E9Bx1ffI5fQ&feature=youtu.be
L''autre possibilité, beaucoup plus désagréable à nos yeux, serait un bombardement par une unité de l'AAS infiltrée par les djihadistes et c'est une possibilité qu'il faut bien évoquer. Les miliciens irakiens et libanais ne disposent pas de ces armes et de toute manière ne sont pas positionnés dans cette région.
Dans tous les cas de figure, la coïncidence avec la présence des enquêteurs de l'ONU, indique clairement le but recherché : les premières attaques d'Alep et Khan el Assal par les rebelles,étant à trop petite échelle pour déclencher un processus militaire du bloc BAO, il fallait plus de malheureuses victimes pour espérer un éventuel engagement militaire des Etats-Unis ou un désengagement de la Russie et de l'Iran par rapport à la Syrie et torpiller la conférence de paix de Genève.http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/08/24/le-president-iranien-reconnait-l-utilisation-d-armes-chimiques-en-syrie_3465920_3218.html
Est-ce qui va se passer?
La propagande médiatique contre la Syrie est tellement vulgaire qu'elle ne passe plus guère. En revanche, le nombre de victimes oblige à montrer ses muscles. Les Etats-Unis vont donc faire une démonstration de force, sans s'engager pour autant, car il leur faudrait plusieurs mois pour monter quelque chose de significatif sur le plan militaire.http://www.middle-east-online.com/english/?id=60863
http://www.middle-east-online.com/english/?id=60872 ,http://www.syrianews.cc/washington-considers-direct-attack-syria/
Une volée de missiles Tomahawk ne résoudrait rien, s'affranchir des règles internationales entraînerait une riposte russe, chinoise et des Brics pas nécessairement militaire.http://www.lorientlejour.com/article/829472/liran-met-en-garde-contre-toute-intervention-militaire-en-syrie.html
Dans le même ordre d'idées, les trois attentats commis Beyrouth et Tripoli visent à accroître la tension communautaire et éventuellement ouvrir un autre front au Liban, sachant le Hezbollah engagé en Syrie, ce dont Israël serait le premier à profiter.
Carnage de Ghouta : l’histoire des deux missiles tirés par la
«Brigade de l’Islam» http://french.alahednews.com.lb/essaydetails.php?eid=10311&cid=309#.UhkSV3_DUek
Pourquoi les Occidentaux et les Américains
se sont-ils abstenus d'accuser le régime syrien d'avoir fait usage des
armes chimiques dans la Ghouta de Damas ?
«La délégation russe a fourni aux missions occidentales et américaines lors de la réunion extraordinaire de l'Onu une version de l'attaque à l'arme chimique survenue le 21 août dans la banlieue est de Damas», rapporte le quotidien libanais Assafir dans son édition de vendredi 23 août citant des sources arabes. Cette version, qui n'a pas été rendue publique, a été étayée par des documents et des images satellitaires des lieux de l'incident et de la région de Ghouta. Selon les sources, les Américains n'ont avancé aucun document qui contredit la thèse russe vu que les images prises par les satellites US aboutissent au même résultat : C'est l'opposition syrienne qui a perpétré l'attaque à l'arme chimique. De ce fait, les Occidentaux n'ont pas pointé du doigt le régime et se sont contentés de demander un élargissement de la mission de la commission d'enquête internationale. Une brigade relevant de l'opposition syrienne baptisée «Liwaa al-Islam» et dirigée par Zahran Allouche a tiré depuis la région de Douma le 21 août à 1h35 deux missiles de fabrication locale et contenant des produits chimiques. Cette brigade est l'une des plus importantes bandes armées dans la Ghouta où environ 25 mille combattants sont déployés dans les villages de Arbin, Zamalka, Saqba, kafarnabt, Ein Tarme et Maazamiyeh. L'un des projectiles s'est abattu dans la région de Joubar alors que le second est tombé dans une zone située entre Arbin et Zamalka. Le tir des missiles est une riposte à l'opération d'envergure baptisée «Bouclier de la ville» lancée par l'armée arabe syrienne aux entrées de Damas. Mercredi, l'artillerie des forces gouvernementales avait commencé à 1h00 du matin à pilonner les bastions des miliciens alors que les chars et les forces d'infanterie avaient avancé à 6h00 vers Joubar pour attaquer les positions des groupes terroristes. Treize brigades extrémistes se sont mises à la disposition du Front al-Nosra pour combattre l'armée syrienne dans cette zone. Selon des sources concordantes, les miliciens relevant du «Front de la conquête de la capitale» se sont retirés de Joubar à 1h00 quelques minutes avant la chute du missile sur la région. Ce qui justifie la présence de quelques dépouilles des combattants parmi les victimes du carnage, en comparaison avec le lourd bilan des citoyens morts.
«La délégation russe a fourni aux missions occidentales et américaines lors de la réunion extraordinaire de l'Onu une version de l'attaque à l'arme chimique survenue le 21 août dans la banlieue est de Damas», rapporte le quotidien libanais Assafir dans son édition de vendredi 23 août citant des sources arabes. Cette version, qui n'a pas été rendue publique, a été étayée par des documents et des images satellitaires des lieux de l'incident et de la région de Ghouta. Selon les sources, les Américains n'ont avancé aucun document qui contredit la thèse russe vu que les images prises par les satellites US aboutissent au même résultat : C'est l'opposition syrienne qui a perpétré l'attaque à l'arme chimique. De ce fait, les Occidentaux n'ont pas pointé du doigt le régime et se sont contentés de demander un élargissement de la mission de la commission d'enquête internationale. Une brigade relevant de l'opposition syrienne baptisée «Liwaa al-Islam» et dirigée par Zahran Allouche a tiré depuis la région de Douma le 21 août à 1h35 deux missiles de fabrication locale et contenant des produits chimiques. Cette brigade est l'une des plus importantes bandes armées dans la Ghouta où environ 25 mille combattants sont déployés dans les villages de Arbin, Zamalka, Saqba, kafarnabt, Ein Tarme et Maazamiyeh. L'un des projectiles s'est abattu dans la région de Joubar alors que le second est tombé dans une zone située entre Arbin et Zamalka. Le tir des missiles est une riposte à l'opération d'envergure baptisée «Bouclier de la ville» lancée par l'armée arabe syrienne aux entrées de Damas. Mercredi, l'artillerie des forces gouvernementales avait commencé à 1h00 du matin à pilonner les bastions des miliciens alors que les chars et les forces d'infanterie avaient avancé à 6h00 vers Joubar pour attaquer les positions des groupes terroristes. Treize brigades extrémistes se sont mises à la disposition du Front al-Nosra pour combattre l'armée syrienne dans cette zone. Selon des sources concordantes, les miliciens relevant du «Front de la conquête de la capitale» se sont retirés de Joubar à 1h00 quelques minutes avant la chute du missile sur la région. Ce qui justifie la présence de quelques dépouilles des combattants parmi les victimes du carnage, en comparaison avec le lourd bilan des citoyens morts.
Contribution de Christophe
Source : Assafir
Le point de vue d'Arnold Karskens (trad bing)
Karskens: Ongoing genocide on Syrian Kurds, Christians
'By delivering arms we are becoming accomplices'
War correspondent Arnold Karskens: 'At this moment ethnic cleansing is taking place in Syria.' 'Extremist Sunni rebels kill everyone they consider apostates.'
Karskens returned last week from the war torn country. In Syria he heard about whole villages being murdered systematically by extremist rebel group Al-Nusrah. 'They kill everybody who is not with them.' [in the recorded interview he elaborates on this, his primary sources for this statement were Kurds from the besieged and conquered villages west of Aleppo]
'I think it is safe to say that at this moment the death toll from inter-rebel fighting is higher than the death toll from battles between the Syrian army and the rebels.' [in the tv interview Karskens talks about Kurdish- jihadi fighting, the huge amount of rebel factions and their infighting, and about fighting between different jihadi outlets]
Accessory
Karskens argues Western governments should stop arming and supporting Syrian rebels. 'Those weapons are eventually obtained by extremists, who use them for very nasty purposes. Hence if you continue arming Syrian rebels, eventually you will become accessory to ethnic cleansing. The Kurds and the Christians are then the first to perish.' [in the tv interview he also speaks about Dutch Father Frans van der Lucht, who is being used as a human shield in Homs' Old City by rebels - Father van de Lucht has been living in Homs for 40 years and has entitled the uprising as a foreign plot to break the Shi'a crescent and an Arab Autumn from its beginning in 2011.]
According to Karskens one of the main goals of the extremists is to capture Syria's weapons depots and attack Israel. 'In the Arab world that would gain them much goodwill'. [elsewhere in th interview he implies that this a long term goal, first it's about finishing Assad's regime]
Fence
The best thing for the West to do is place a fence around Syria, so that weapon deliveries - by Turkey among others, can be stopped. 'As a war correspondent I feel obliged to say: sometimes it's better if you let other people solve their own business'. [in the tv interview Karskens refers to Iraq, and how the West's intervention, based on the large parts of the public's will to do good, resulted in the deaths of hundreds of thousands.
Source : Assafir
Le point de vue d'Arnold Karskens (trad bing)
Karskens: Ongoing genocide on Syrian Kurds, Christians
'By delivering arms we are becoming accomplices'
War correspondent Arnold Karskens: 'At this moment ethnic cleansing is taking place in Syria.' 'Extremist Sunni rebels kill everyone they consider apostates.'
Karskens returned last week from the war torn country. In Syria he heard about whole villages being murdered systematically by extremist rebel group Al-Nusrah. 'They kill everybody who is not with them.' [in the recorded interview he elaborates on this, his primary sources for this statement were Kurds from the besieged and conquered villages west of Aleppo]
'I think it is safe to say that at this moment the death toll from inter-rebel fighting is higher than the death toll from battles between the Syrian army and the rebels.' [in the tv interview Karskens talks about Kurdish- jihadi fighting, the huge amount of rebel factions and their infighting, and about fighting between different jihadi outlets]
Accessory
Karskens argues Western governments should stop arming and supporting Syrian rebels. 'Those weapons are eventually obtained by extremists, who use them for very nasty purposes. Hence if you continue arming Syrian rebels, eventually you will become accessory to ethnic cleansing. The Kurds and the Christians are then the first to perish.' [in the tv interview he also speaks about Dutch Father Frans van der Lucht, who is being used as a human shield in Homs' Old City by rebels - Father van de Lucht has been living in Homs for 40 years and has entitled the uprising as a foreign plot to break the Shi'a crescent and an Arab Autumn from its beginning in 2011.]
According to Karskens one of the main goals of the extremists is to capture Syria's weapons depots and attack Israel. 'In the Arab world that would gain them much goodwill'. [elsewhere in th interview he implies that this a long term goal, first it's about finishing Assad's regime]
Fence
The best thing for the West to do is place a fence around Syria, so that weapon deliveries - by Turkey among others, can be stopped. 'As a war correspondent I feel obliged to say: sometimes it's better if you let other people solve their own business'. [in the tv interview Karskens refers to Iraq, and how the West's intervention, based on the large parts of the public's will to do good, resulted in the deaths of hundreds of thousands.
ps: nous pensons qu'il est inutile de citer les déclarations de L. Fabius!
addendum : alors que les officiers australiens travaillent de concert avec les Etats-Unis c'est l'Autralie qui dirigera les débats aux nations unies, le 1er septembre
RépondreSupprimerhttp://www.theaustralian.com.au/national-affairs/australia-to-take-charge-of-un-response-on-syria/story-fn59niix-1226702444579
Le lien de l'interview de Karskens en néerlandais:
RépondreSupprimerhttp://www.eo.nl/tv/knevelenvandenbrink/artikel-detail/karskens-genocide-op-koerden-en-christenen-gaande-in-syrie/#.UhZ7UYlvpz0.twitter
La lien "Carnage de Ghouta : l'histoire de deux missiles ..." ne marche pas (?)
RépondreSupprimerle lien:
Supprimerhttp://french.alahednews.com.lb/essaydetails.php?eid=10311&cid=309#.UhkSV3_DUek
Bsr Njama, reçu!
SupprimerConcernant les détails des dernières opérations militaires "d'envergure" de l'AAS dans la région de Damas voir cet article du 24-08-13 du site d'information Al-Ahed d'après une source militaire syrienne:
RépondreSupprimerUn plan saoudien pour attaquer Damas, avorté par l’armée syrienne
Par Hussei Mortada
(extraits)
"Les responsables saoudiens ont avancé une demande claire : une bataille d'envergure pour contrôler Damas ou la cessation du soutien financier.
Selon les informations du site d'information Al-Ahed, une grande quantité d'arsenaux a été acheminée en Syrie, via la Jordanie, pour répondre à la demande saoudienne.
Les rebelles, instigués par l'Arabie, ont entamé des préparatifs pour agresser la ville de Jaramana, étant la zone la plus proche du cœur de la capitale Damas.
Les rebelles se sont rassemblés dans le voisinage du village Jerba, situé dans la Ghouta-est. D'autres combattants entrainés par les forces américaines en Jordanie, ont commencé à franchir les frontières. Mais des centaines sont tombés dans des embuscades tendues par l'armée syrienne, qui a découvert le plan et les passages frontaliers à travers lesquels ils s'infiltraient vers les banlieues de Damas. Ce fut le grand coup asséné aux rebelles."
[...]
L'heure H du déclenchement de l'opération était fixée à l'aube du mercredi dernier. L'armée syrienne a pilonné les postes des rebelles dans plusieurs régions du rif de Damas, dont la Ghouta-est et ouest, notamment les localités de Mouathamia, Zamalka, Jobar, Kfar Batna, Mliha. Ainsi que Beit-Sahem, Akraba, Erbine et son entourage, arrivant à Kaboun et Barzé. L'objectif principal du pilonnage était d'empêcher la communication géographique entre les rebelles et le blocage des voies de ravitaillement entre ces zones, afin de les plonger dans la confusion. Dans le même moment, les forces d'infanterie de l'armée avançaient vers la profondeur des régions ciblées.
A Jobar, l'armée a frappé les postes du front Al-Nosra dans plusieurs zones stratégiques, notamment dans les quartiers Souk Manto, Dora et Manacher. Les unités de l'armée ont avancé vers le bâtiment «Tour des enseignants», dans lequel s'étaient retranchés des tireurs embusqués depuis plus de sept mois.
En outre, des unités de l'armée ont effectué une grande opération à Sbina dans la Ghouta-ouest. Les postes des rebelles au quartier Husseinia ont été pilonnés, au moment où les accrochages se poursuivaient sur les axes des quartiers Gharbé, Hujeira, Husseinieh et Zhibabié.
L'opération militaire de grande envergure en cours sur tous les fronts du rif de Damas, se caractérise par la coordination étroite entre les différentes unités de l'armée. Ce fait a permis à la troupe d'avancer sur plusieurs axes, notamment à Mouathamia, Kaboun et Barzé et aux quartiers Jobar et Erbine.
L'avancée de l'armée syrienne a poussé les rebelles à pilonner plusieurs quartiers de la capitale par des obus de mortier, dont, Bab Touma, Kassaa, Abbassiyin, Place Tahrir et autres, dans une tentative de relever le moral des insurgés."
[...]
http://french.alahednews.com.lb/essaydetails.php?eid=10326&cid=323#.UhmwgH_DUek
Bonjour André,
RépondreSupprimerLes deux explications que ce sympathique site fournisse quant aux auteurs présumés de l attaque chimique à Al Ghoutta sont plausibles, Merci. A savoir soit ou plutôt une responsabilité des mercenaires drapés par une fausse islamisme et dit rebelles depuis Douma soit leur une infiltration ou par leurs confrères d une unité loyale de l AAS et qui ne pourrait pas être formellement exclue.
Une tierce organisation comme une troisième "force" est à infirmer aussi ou à confirmer. On parle des Turkmènes ou des agents (Mossad,Bandar,CIA...etc).
La quatrième et dernière hypothèse serait une erreur logistique "bête" de l AAS mélange des pinceaux et du matériel dans un pays anciennement dit du tiers monde)et non pas stratégique..
En tout état de cause, les deux parties (le Gvt loyal et les mercenaires dits rebelles) sont les "deux accusés et perdants potentiellement" dans cette affaire à des pourcentages géométriques variables et qui dépendent de quel côté les spectateurs honnêtes ou malhonnêtes se trouvent.
Tout cela signe un chaos et une perte de crédibilité des interlocuteurs donc un coup supplémentaire à Genève 2. A mon humble avis en espérant me gourer, Genève 2 dépend des accords américano-russes et d ici lä, toutes les parties concernées par le conflit s affaiblissent avec plus de mort de chaque côté et qui n a pas l air de déranger *trop* ni la Russie ni certes les USA et les satellites-esclaves des USA bien au contraire (Les Golfistes-Saoudites, la France, la GB et certainement Israel...)
Tout cela va aussi dans le sens du plan de la destruction de la Syrie surtout qu elle s est remise au galop témoignée par cet incident. Il faut relever que la responsabilité du GVt loyal syrien me parait, et comme l article ci dessus le dit, très peu probable car l armée syrienne a gagné des grandes villes ces derniers temps et sa situation est loin d être désespérée ou aux abois mais bien au contraire. S agit il d un coup de grâce aux rebelles dits modérés( moi je ne crois pas à la modération de l atrocité et du cannibalisme) d où la prudence extrême des annonces de l OSDH et le retrait de l ASL hier du CNS présidé par un trafiquant de drogue et d arme.
Si le conflit terminerait entre deux parties : Certes le Gvt loyal et de l autre côté le nom décrété d "Al Qaida, sauce quasi universelle made in USA", la donne change en faveur d éradiquer Al Qaida en Syrie et toute l opinion publique mondiale est adhérente à 100% ( à raison et à tort à cause d une haine légitime à Al Qaiada et la montée, hélas, d un anti-islamisme produit par l Egypte, la Saoudie et Qatar..).Eradiquer Al Qaida en Syrie est un scénario afghan bien connu...
Je fais une entorse à ta remarque de ne pas parler de Lolo mais c est dans la même veine de mon texto ci dessus: Mr Fabuis avait dit fin 2012:""Al Nusra fait, QUAND MêME , du bon boulot ...""suivez mon regard ...
Bjr Charles,
SupprimerPersonnellement, je ne crois pas à la responsabilité du GVT syrien,cela n'a aucun sens. Donc ou rebelles, ou une unité travaillée par les djihadistes, ou qui s'est planté dans les munitions, cela peut aussi arriver, enfin cela m'étonnerait, il n'y a que trois bases de l'AAS d'où on aurait pu les tirer. Ensuite, il y a trop de coincïdences avec l'agenda américano-saoudien,trop d'incohérences sur le nombre de victimes : de plus de 1000 on passe à 355, les médecins non protégés donc condamnés etc... J'ajoute que lors de la guerre Iran-Irak, ou on a largement gazé, cela n'a jamais gêné quiconque.
Il faut attendre la réunion de mercredi entre Lavrov et ses homologues américains pour savoir ce qui va se passer. Soit il y a un veto catégorique de Lavrov à une opération de frappes, soit il reste dans une posture passive. Genève 2, je n'y crois plus guère...
Face à l'importante offensive de l'AAS dans le Rif de Damas ce mercredi 21 aout (voir lien article french.alahednews ci-dessus), le scénario de Khan al-Assal s'est reproduit avec les mêmes objectifs !
RépondreSupprimerL'analyse de Cécilia dans son article du 3 avril 2013 ** Armes chimiques, une nouvelle croisade anti-Bachar ** n'a pas pris une ride :
"Cela signifie clairement que les rebelles, même dans leurs zones prétendument "libérées" ne sont en sécurité nulle part, et que l’existence de ces "zones libérées" n’est que chimère, que cette menace les touche partout où ils se trouvent, et que leur recours à l’arme chimique ne peut être qu’une signature de leur impuissance tout comme leurs attentats à répétition un peu partout en Syrie. C’est cette vraie réalité du terrain que les atlantistes cherchent à dissimuler par des gesticulations à répétition."
"Du plus, Damas sait parfaitement qu’elle n’a aucun intérêt à recourir à l'arme chimique sachant que cela la condamnerait définitivement au plan international. Pourquoi l’aurait-elle fait alors que la situation militaire est à son avantage ? Non seulement l’armée syrienne est de loin supérieure en armes classiques mais elle vient de chasser le Nusra de la ville, ce même groupe classé par Washington comme mouvance d’Al-Qaïda. Seul le camp de l’opposition a besoin d’un tel acte désespéré pour réaliser "une équilibre militaire", si fantoche qu’elle soit."
"Manœuvre pour forcer une intervention étrangère", "Surenchères et gesticulations médiatiques" ...
http://www.michelcollon.info/Armes-chimiques-une-nouvelle.html
Selon As-Safir, l'attaque chimique visait avant tout à arrêter l'Opération militaire syrienne «bouclier de la ville».
RépondreSupprimerExtraits de la traduction Google (assez peu française, mais on comprend - le lien de l'article en arabe ci-dessus):
"Il dit que les Russes que les roquettes, deux de la fabrication de produits chimiques domestiques et de transport, mis hors de la zone contrôlée par «la bannière de l'islam», dirigé par Zahran Alwash, les forces les plus éminents de l'opposition armée dans Gota, qui est publié par les quelque 25 000 combattants, répartis entre Orbin et Zamalka et Sakba , Kvrbtna et Ain Tarma et المعضمية. Les roquettes visent à répondre à la «bouclier de la ville», la plus grande opération militaire menée par l'armée syrienne à la périphérie de la capitale, depuis le début du conflit. L'une des roquettes a atterri dans Jobar près de la vieille ville, tandis que la seconde roquette a atterri dans une zone médiateur Irbeen et Zamalka.
L'artillerie de l'armée syrienne avait commencé bombardements primer quand par nuit, alors que les colonnes de chars et des troupes d'infanterie, prêts à passer à six heures du matin environ Jobar en particulier, vers les sites capital Fatah avant ». Le 13 bataillon avait Unies dans la région et se mettre sous le commandement du «Front pour la victoire» pour combattre l'armée syrienne, qui comprend brigades «Harun al-Rashid», et «Swords of Truth» et «immigrés» et «Ansar» et «Abou Dhar Ghaffari», et « Brigades Jésus le fils de Marie »et« Sultan Mehmet le Conquérant »et« bouclier Sham, et «Martyrs Jobar» et «la gloire du Califat».
Selon des sources intersection forces «capitale avant ouverte» qui se bat sur le front de Jobar, a commencé à se retirer des immeubles de grande hauteur à proximité des Abbassides de garage, et le bout de la rue Fares Khoury, après celle juste avant la chute de la substance chimique loin de l'objectifs lanceurs armée et l'artillerie, tandis que les forces rassemblées «partisans de la brigade L'Islam est à la Douma, qui connaît la plus grande agglomération dans Gota.
Et d'expliquer la vitesse de l'opposition de retrait vers les lignes arrière de quelques blessés parmi les combattants, par rapport aux grands nombres qui tombaient de civils.
Selon des sources coupant les militaires préemptées les opérations, les groupes amener à pénétrer dans la capitale à travers le champ, et le progrès pour assiéger l'armée dans le sud de la capitale sur le devant de la Pierre Noire et Yalda et le pied, avec les forces des équipes deuxième et quatrième filiales pour «Armée libre», et isolé à partir d'unités stationnées sur la face avant de Jobar, et le rythme de la pince.
Les poids que les fusées chimiques et prétendre entrer dans l'équipe d'enquête internationale dans la région visent avant tout, arrêter l'opération militaire syrienne."
http://www.assafir.com/Article.aspx?EditionID=2546&ChannelID=61465&ArticleID=1931#.UhnyYn_DUek
Idem autre article, extraits traduction Google, et lien vers l'article en arabe :
RépondreSupprimer16 soldats et officiers syriens tués, et 41 blessés de l'armée !
" ... met en évidence les différences de coordonnées géographiques fournies par la et «coalition» celles faites par «la bannière de l'islam est de dire que les sites auxquels l'armée syrienne a lancé« fusées chimiques vers Zamalka et Jobar. Alors que le Secrétaire général a déclaré que le «coalition» Badr Buffalo a déclaré le général 155, basé à Qalamun, et le major-général 127, basé à السبينة deux effectué des bombardements, accuser l'énoncé «la bannière de l'islam» Brigade 105 et de l'artillerie stationnée à Mount Qasion et mezze martèlement Orbin et Jobar, à la périphérie de la capitale les mêmes fusées chimiques.
Et peut la commission d'enquête internationale pour commencer à examiner les corps de 16 soldats et officiers syriens, et 41 blessés de l'armée, qui ont souffert Balkimaaúa de suffocation dans une vague de terrain d'attaque d'abord par la Brigade 105 vers Irbeen seul, après le déménagement Artale à la sixième mercredi matin, où il a été transféré 39 blessés en ambulance un militaire Balkimaaúa vers l'hôpital militaire de grandeur Joseph.
L'armée syrienne a commencé à l'attaque «ville Shield» sur les sites d'opposition, ses bottes tirs d'artillerie lourde, avant le lancement de colonnes d'infanterie et de chars dans Jobar Orbin et Zamalka. Le porte-parole de l'armée syrienne a décrit les accusations d'utilisation de l'armée à des agents chimiques «comme un acte de suicide, il n'est pas logique d'ouvrir l'armée d'un attentat à la bombe chimique, puis a appelé ses troupes vers les objectifs qui ont été contaminées chimiquement, sans qu'il est l'un de ces suicides."
http://www.assafir.com/Article.aspx?EditionID=2547&ChannelID=61491&ArticleID=2046#.Uhn2HH_DUek
> De : Manfred Stricker
RépondreSupprimer> Date : Thu, 22 Aug 2013
> Objet : A propos de l'attentat de Damas
>
> les parties en présence en Syrie sont d'un côté les vétérotestamentaires qui ont un passé énorme de mensonges et de destruction. Et un chef d'Etat qui avait bien gouverné que les vétérotestamentaires veulent supprimer comme d'autres, comme Saddam Hussein et Kadhafi. Et on sait bien qu'après la Syrie, ce sera l'Iran. Et que les vétérotestamentaires sèment aussi la zizanie en Russie.
>
> Pour ce qui est des vétérotestamentaires, Israéliens, Anglo-Saxons, rejoints par les Sarkozy et les Hollande, je ne leur crois pas un seul mot. En plus ils sont des spécialistes du faux attentat (un vrai attentat mis sur le compte d'un faux coupable).
>
> A propos de la Syrie, il est question d'une vingtaine de spécialistes de l'ONU, présents à Damas avec la mission de trouver si de précédentes dites utilisations de gaz de combat peuvent être vérifiées et les auteurs trouvés ( un cas a été bien décrit par un journaliste du Monde, ce qui montre bien entre quelles mains le Monde se trouve maintenant ).
>
> Par la radio allemande, Deutschlandfunk, j'ai appris deux détails surprenants : les inspecteurs n'ont pas été envoyés rapidement pour enquêter sur le dernier attentat, mais ils étaient déjà sur place. Mon hypothèse : comme il est difficile de prouver quelque chose sur le passé, "on" a offert aux inspecteurs une occasion dans le présent. Ils n'auraient que quelques centaines de mètres à faire pour être sur place. Et ils en ont certainement envie. Mais curieusement ces inspecteurs n'ont pas le droit d'aller dans le quartier de Damas où c'est arrivé. Et la radio allemande n'a pas dit non plus qui empêche les inspecteurs de se rendre sur place. Sûrement pas Assad.
>
> Et troisième point : ces inspecteurs n'ont pas le droit de publier ce qu'ils trouveront. Hypothèse : l'ONU ne sait pas elle-même qui a été l'auteur de l'attentat; et si jamais les inspecteurs trouvaient que cela peut avoir été Israël, on dira qu'ils n'ont rien trouvé. Et si c'était Assad, on dira que c'est lui.
> Réflexions.
>
> 1/ rien de plus difficile à trouver que l'auteur d'une petite bombe au gaz. Lorsqu'il y a des échanges de mortiers ou de canons, un troisième larron peut ajouter son obus au gaz.
>
> 2/ Assad n'a aucune raison d'utiliser du gaz, car il sait que les Fabius des vétérotestamentaires n'attendent que cela pour lui faire le coup de la Libye.
> Conclusion : Assad a toutes les raisons de ne pas utiliser de gaz alors que les vétérotestamentaires ne font que ce qu'ils font depuis longtemps et partout : mentir et détruire.
Bonjour Adalia,
RépondreSupprimerTrès intéressant,effectivement au bout d'un moment si les échantillons ne sont pas rapidement mis sous scellés, ils se volatilisent. Cela confirme la version russe, on offre sur un plateau par le biais des enquêteurs une preuve fabriquée contre le gouvernement syrien...
Bonjour Adalia
RépondreSupprimer"Vous n’êtes pas censés prendre parti...et pourtant !" ... écrivait Majd Haddad dans sa Lettre adressée à Médecins Sans Frontières, le 15 mars 2013
http://www.silviacattori.net/article4300.html
Voilà un article d'Al-Manar qui va conforter sans détour toutes ses intuitions, constatations et griefs à l'encontre de cette ONG dont le but de ces médecins est plus politique qu’humanitaire !
Attaque chimique : MSF donne un coup de pouce à l’opposition syrienne armée ?
L’ONG Médecins sans frontières est intervenue dans l’affaire de l’attaque chimique perpétrée en Syrie mardi dernier pour soutenir la version défendue par l’opposition armée syrienne qui a accusé les autorités syriennes de l’avoir perpétrée.
Surtout que cette version, ou certains de ses aspects, est de plus en plus suspectée, aussi bien en raison des révélations et découvertes russes et syriennes que par les témoignages de médecins experts en la matière interrogés par la BBC.
Or cette organisation ne se trouve pas sur place pour que ses chiffres soient crédibles, ...
Bien entendu, l’organisation ne se donne pas la peine de se demander pourquoi, étrangement, aucune image vidéo ni photographie ne montre ce grand nombre d’infectés dans les hôpitaux.
Symptômes d'un gaz sans nom
[...]
lire la suite ici :
http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=126729&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=37&s1=1
Le communiqué de presse du 24 août de MSF :
http://www.msf.fr/presse/communiques/syrie-milliers-patients-souffrant-symptomes-neurotoxiques-soignes-hopitaux-souten